HOMMAGE A PHILIPPE GONZALEZ

HASTA LUEGO AMIGO

Originaire d’Andalousie, Philippe GONZALEZ était né le 3 novembre 1962.

Il laisse derrière lui trois enfants, son épouse, sa famille et tant d’amis.

Elu à Graulhet depuis 2008, il était second adjoint de Blaise Aznar, qui a rendu un hommage poignant à son colistier mais surtout à l’ami.

« Je m'adresse d’abord à toi, au nom de tout le conseil municipal pour te redire combien tu étais important pour nous. Politiquement, bien sûr, avec ta juste vision du monde, et surtout, tes conseils et ta bienveillance pour nous tous. Par ton humanité, tu as toujours trouvé des solutions pour aider les personnes dans le besoin. Tu as toujours été à l'écoute des Graulhétoises et Graulhétois, que ce soit en tant qu'employé de Mairie ou en tant qu'adjoint de la commune. Tu nous as transmis à toutes et à tous ton attachement aux valeurs de la République. Avec Ton expérience politique, ta connaissance parfaite des protocoles tu étais pour nous et tu resteras un pilier. Tu incarnes pour nous la solidarité ! Bien des Graulhétoises et des Graulhétois savent ce qu'ils te doivent. Ton altruisme le montre, il t’amenait toujours à mettre en valeur l'action publique avant ton propre intérêt. Ton engagement pluriel a toujours été guidé par un sens aigu des responsabilités. Au nom du conseil municipal et de l'ensemble des Graulhétoises et des Graulhétois je tiens à te remercier. Tu mérites notre respect et notre profonde reconnaissance.

S’adressant à l’ami, Blaise Aznar confiait : « Je veux aussi m'adresser à toi en tant qu'ami, amigo ! Depuis notre rencontre, plus de trente ans ! notre complicité sur bien des plans a été immédiate. Grâce peut être à nos origines communes : l’Andalousie ! Notre province d’Almeria ! Ton village Aqua Amarga très proche de mon village Carboneras. Mais surtout par les échanges que nous avons eus ensemble. Tu m'as aidé à concrétiser et à donner un sens à mes valeurs politiques. C’est à toi que je dois mon engagement, tu m’as convaincu de prendre des responsabilités et c'est grâce à ton sens inné de persuasion, que je suis devenu maire aujourd'hui. Je ne pourrais terminer ce message sans associer également Florence, ma conjointe. Et dire à Lise, à Carine, à Céline et à Axel que je serai toujours présent pour eux. Il m'en coûte de te laisser et de te dire Hasta luego, Amigo ! ».